Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 10 ans
Complot de femmes
Il est onze heures du soir, et je finis de faire la vaisselle. À la main, bien sûr, et avec le plus grand soin ! Ma femme Murielle me l'a bien recommandé, car le lave-vaisselle risquerait de détériorer notre belle argenterie et d'ébrécher les fines assiettes de porcelaine. Après le repas du soir que je leur ai servi comme un valet bien stylé, Murielle et son amie Hilda ont regardé ensemble la télévision, puis se sont retirées dans la grande chambre. Depuis la cuisine, je les entends bavarder et rire. Parlent-elles de moi ? J'aimerais bien le savoir. Elles sont sûrement couchées ensemble sur le grand lit, et déjà elles émettent des petits cris d'excitation.
Elles se préparent à une chaude nuit d'amour, dont hélas je serai exclu, puisque Hilda, l'amie de ma femme, est une pure lesbienne, et que la participation d'un mâle à leurs activités amoureuses est absolument exclue. Ce soir je ne suis même pas autorisé à pénétrer dans leur chambre, et je ne les verrai donc pas dans leurs ébats saphiques. Je ne les retrouverai que demain matin, quand je leur apporterai leur petit déjeuner au lit. Je tâte mes fesses nues, elles sont brûlantes et douloureuses, et elles portent encore les traces du martinet de Murielle et de la fine cravache de Hilda. Et pourtant, mon coeur bondit d'allégresse. En effet, Hilda doit s'absenter une dizaine de jours pour son travail, et pendant tout ce temps j'aurai ma femme pour moi tout seul. Si elle le juge bon, je réintégrerai alors le lit conjugal, avec l'espoir légitime de la reprendre dans mes bras.
Enfin, ça y est, j'ai terminé toutes mes tâches de la soirée, et je me rends dans ma chambre, où je vais dormir seul dans mon petit lit. Je me tourne et me retourne, je ne parviens pas à m'endormir tout de suite. Mon esprit vagabonde, et je me rappelle cette journée déterminante, exactement treize mois plus tôt, où tout avait basculé.
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Pendant très longtemps, ma femme et moi avons formé un couple libertin, exempt de jalousie. La seule règle était la liberté pour chacun, dans la discrétion, à cause de nos trois enfants. Ma femme, bisexuelle, me disait tout sur ses partenaires, hommes ou femmes. Moi-même, qui suis hétérosexuel, je ne cachais rien à ma femme sur mes maîtresses. Lorsque son amante ou la mienne était d'accord, nous formions à l'occasion d'agréables trios. A défaut, j'aimais bien aussi, tout en me masturbant, regarder, les deux femmes se gouiner. Nous avons fréquenté des cercles échangistes, pratiqué l'amour de groupe, mais ces expériences, aussi agréables soient elles, restaient limitées dans le temps. Elles se déroulaient généralement pendant les périodes d'absence de nos enfants, partis en colonie de vacances ou en séjour chez leurs grands-parents. Depuis qu'ils sont adultes et ne vivent plus chez nous, nous avons les coudées franches, et c'est ce qui a permis notre évolution. Nous avons connu Hilda peu après le mariage de notre dernière fille. Avant de la fréquenter, Murielle avait eu bien d'autres aventures homosexuelles, mais il s'agissait de liaisons plus ou moins brèves, sans vraie conséquence sur notre couple. Entre Hilda et Murielle, ce fut le coup de foudre immédiat ! Pas seulement une entente érotique exceptionnelle, mais aussi une amitié très forte, le plaisir d'être ensemble, de se voir, de se parler. Je m'en réjouissais plutôt, c'est si beau, deux femmes qui s'aiment ! Elles ne se cachaient pas de moi, me laissaient souvent assister à leurs ébats, mais hélas je n'étais pas admis à y participer, car Hilda est lesbienne à cent pour cent, et n'aurait jamais admis d'être touchée par un homme. Un soir, nous étions seuls, Murielle et moi, et nous avons regardé ensemble une cassette vidéo sur la domination féminine, qui nous avait été prêtée par Hilda.
À la fin de cette projection, Murielle se tourna vers moi, et me dit qu'elle était tentée par une expérience comparable à ce que nous venions de voir. Elle me demanda ce que j'en pensais. Moi, j'aime bien la nouveauté, mais là c'était un peu spécial, je ne savais pas trop, et je restai évasif. Dans le passé, nous avions fréquenté plusieurs adeptes du S.M., leur expérience m'avait sur le moment semblé excitante, mais jusqu'alors ma femme ne semblait pas spécialement attirée, et nous n'en avions plus reparlé. " Peut-être...on verra...il faudra y réfléchir... ", répondis-je évasivement. Sur le moment, ma femme n'insista pas, mais un dimanche matin, alors que j'étais encore au lit, cul nu, couché sur le dos, elle m'embrassa longuement, me caressa, et me dit soudain : " Tiens-toi tranquille Nicolas, je vais t'attacher ! " Et elle posa bien en évidence des cordes sur le lit ; elle prit ma bite en main et la titilla doucement du bout de la langue. Ce n'était pas une vraie fellation, mais c'était quand même très bandant. Puis, elle prit une des cordes et entreprit de me lier les jambes. Comme je m'étonnais, elle me dit doucement : " Ne t'agite pas comme ça, mon chéri, laisse-toi faire, tu verras, tu vas aimer ça. "
Auparavant, il m'était arrivé bien des fois de jouer le rôle passif en amour, je trouve ça très excitant, et ma femme ne l'ignore pas. Je me laissai donc ficeler étroitement, sans résister. A la fin, elle attacha mes poignets aux montants du lit, et me mit un gros oreiller sous la tête. Puis, elle m'escalada, approcha son cul de mon visage, et frotta son anus et sa chatte odorante contre mon nez et ma bouche, tout en taquinant doucement ma bite avec sa main. Quand elle m'eût bien excité, elle se retourna vers moi, posa ses genoux autour de ma tête, puis s'accroupit sur moi, me couvrant la bouche et le nez avec sa chatte. Son regard plongea dans le mien. Puis elle me dit malicieusement : " Maintenant, mon amour, c'est à toi de me faire minette. " Je n'avais encore jamais été entravé. La situation était nouvelle pour moi, mais extrêmement bandante. Elle mouillait, son odeur un peu épicée envahissait mes narines. Au début, ce n'était qu'un simple affleurement, une caresse, je sentais ses poils pubiens me chatouiller le nez, et évidemment je ne me fis pas prier pour happer et lécher les délices qui s'offraient à moi. Elle s'assit alors carrément sur mon visage, puis balança son corps d'un mouvement ample, sa chatte étroitement collée contre ma bouche, se soulevant parfois brièvement, à intervalles réguliers, pour revenir aussitôt m'étouffer de tout son poids. Et ça continua comme ça un bon moment. Bientôt elle commença à haleter, et sa pression sur mon visage se fit encore plus pesante, obstruant carrément mon nez et ma bouche.
Ma respiration devint de plus en plus difficile, je devais profiter des courts instants où elle soulevait légèrement son cul pour prendre de rapides bouffées d'air. Mais en dépit de ma gêne, j'étais grisé, sans volonté, et je continuais à sucer, à lécher, à activer ma langue avec ferveur et application. Et puis ce fut un feu d'artifice ! Je fus étonné de la violence et de la durée des orgasmes successifs de mon épouse. Certes je savais qu'elle était sensuelle, j'étais témoin bien souvent du plaisir très vif qu'elle prenait avec son amie Hilda. Mais avec moi, il y avait bien longtemps qu'elle n'avait plus connu une telle jouissance ! Certes notre entente physique avait toujours été bonne, mais nous étions mariés depuis de nombreuses années, et l'ardeur de nos jeunes années s'était peu à peu émoussée, nos amours étaient devenus plus calmes. Quand la tension se relâcha enfin, elle recula un peu les fesses, s'assit sur ma poitrine, face à moi, et fit une pose. Elle était encore toute essoufflée. Je pus enfin prendre une longue respiration. Ses yeux brillaient d'une flamme très vive. Mon excitation était à son comble, je bouillais intérieurement, j'attendais l'instant où je pourrais enfin la baiser.
Mais j'étais solidement attaché, et bien obligé d'attendre son bon vouloir. Sans me quitter des yeux, Murielle tendit sa main en arrière, la referma sur ma queue qui était dure comme un roc, et se mit à la caresser doucement. Elle ne se pressait pas, prenait tout son temps. Elle me dit à voix basse, " Hmmm, ta queue est bien raide, mon chéri, je vois que tu es en grande forme! Tu aimes ça, que je t'attache ? " Je bougonnai un peu, ne sachant quoi répondre. À mon profond déplaisir, sa caresse sur mon pénis se ralentit. Son regard restait fixé sur le mien. " Est-ce que tu aimes ça ? ", répéta-t-elle, impatiente, en arrêtant sa caresse. " Oui, oui, j'adore ça ", me hâtai-je d'affirmer. Elle reprit de nouveau sa caresse et continua, son regard plongé dans le mien : " Bien ! Très bien mon amour !;Ça te réussit te réussit vraiment bien quand je t'attache. Il était super ce cunni ! N'est-ce pas que, toi aussi, tu as envie qu'on recommence bientôt comme ça ? " Je restai coi. J'étais sidéré, mais aussi prodigieusement excité par son audace. Je voyais ma femme au-dessus de moi, pesant de tout son poids sur mon corps. J'étais tellement ému que je n'arrivais pas à soutenir son regard. Comment ne pas me souvenir encore aujourd'hui de son visage tendu, de ses lèvres pincées et de ses yeux brillants d'excitation ?
Comme je ne répondais pas, elle arrêta de nouveau sa caresse, me serra sans douceur les couilles et reprit, " Bon, je te laisse réfléchir, tu me répondras après. J'ai soif, là, je vais prendre un verre, attends-moi là. " Puis, sans plus s'occuper de moi, elle descendit du lit, et quitta la chambre en me laissant immobilisé dans mes liens. Je l'entendis qui se versait un verre. Là je me sentis vraiment frustré, et je poussai un gémissement de désappointement. Je la rappelai pour qu'elle s'occupe de moi, pour qu'elle me caresse, ou pour quelle me détache, mais elle resta sourde à mes supplications. " Eh, reviens ! Tu peux pas me laisser tomber comme ça ! ", insistai-je. " J'ai envie de baiser moi ! " Finalement, après plusieurs minutes, elle répondit calmement, " Oh, ça suffit, arrête tes jérémiades ! Il n'y a pas le feu quand même Laisse-moi finir mon verre tranquillement !" " Moi aussi j'ai soif ", protestai-je, " je t'ai léchée pendant une heure, j'ai la langue en feu là ! Tu pourrais au moins m'apporter un verre ! " " Oh, sûrement pas, mon chéri ", me répondit-elle avec un petit rire, " je préfère que ta langue reste bien chaude pour ta petite femme chérie ! " " Tu te fous de moi, là ? ", hurlai-je. " Ne crie pas comme ça, les voisins vont t'entendre ! Calme-toi, mon amour. Tu peux bien m'attendre quelques minutes, quand même! Sois sage, je vais bientôt revenir. " Je rongeai mon frein. Que faire d'autre que d'attendre ? Prisonnier de mes liens, je ne pouvais pas faire un mouvement.
Elle revint enfin après un bref passage dans la salle de séjour, et elle jeta un regard approbateur sur ma queue tendue. Je remarquai qu'elle avait ramené avec elle deux paires de menottes, l'une pour les chevilles et l'autre pour les poignets. Le programme avait donc une suite ! Elle s'assit de nouveau à califourchon sur ma poitrine, et recommença à me caresser le pénis. " Alors, tu as réfléchi ? ", me demanda-telle doucement. " Tu te laisseras attacher chaque fois que je te le demanderai ? " Elle insistait lourdement, et commençait à m'irriter. " Oui, oui ", répondis-je sèchement, pour en finir. Elle accéléra un peu le mouvement de sa main. C'était délicieux. " Tu me le promets ? ", continua-t-elle. " Oui, oui, je promets ", criai-je, d'une voix franchement excédée. Elle arrêta immédiatement sa caresse. Cherchant à retrouver le contact de sa main, j'eus un mouvement instinctif de mes reins vers le haut, mais en vain, car ses deux mains étaient maintenant venues se poser sur mes épaules. " En voilà un ton pour me répondre ! Je veux que tu me répètes ta promesse plus gentiment. Tu me promets quoi ? " Je la regardai intensément, puis, prêt à tout pour que les caresses reprennent, je dis docilement, sans réfléchir plus longtemps, " Je te promets de me laisser attacher chaque fois que tu me le demanderas ". Elle eut un sourire éblouissant, m'embrassa sur la bouche, et se mit à me caresser la queue de nouveau. Au bout d'un moment, elle me dit, " Tu sais, Nicolas, je te l'ai déjà dit, j'ai vraiment envie de te dominer, mais je ne t'oblige pas. Si tu ne veux vraiment pas, je te détache tout de suite. On en restera là, et on n'en reparlera plus jamais. Pas de problème, je trouverai facilement un soumis au Minitel, il n'y a que l'embarras du choix. Mais ce serait dommage, je préférerais que ce soit toi, d'autant plus que ça n'a pas l'air de te déplaire. "
Elle s'était un peu reculée, sa caresse avait cessé, mais ses fesses me malaxaient le ventre, et ses doigts durs entouraient encore mon pénis dressé. Solidement entravé par mes liens, je me sentais déjà délicieusement dominé. En outre, aussi étonnant que ça puisse paraître compte tenu de notre liberté sexuelle, j'étais saisi par un violent sentiment de jalousie à l'idée que Murielle puisse faire appel à un inconnu recruté par Minitel. Subjugué par son regard, enivré par le goût de sa mouille dont je sentais encore le goût dans ma bouche, je n'étais plus en état de résister. Et d'ailleurs, pourquoi résister ? Je n'en avais nulle envie. Qu'est-ce que je risquais ? Nous n'étions plus des enfants de choeur, et ensemble nous en avions vu déjà bien d'autres ! Si ça ne marchait pas, il nous suffirait d'arrêter l'expérience d'un commun accord. Je décidai donc d'entrer dans le jeu de ma femme, et lui dis que je serais ravi de recommencer cette expérience, et que j'avais beaucoup apprécié ses initiatives. Elle se détendit aussitôt, eut un large sourire, et son regard se fit triomphant.
Elle me mit un long baiser sur les lèvres, et me caressa les cheveux d'une main très douce. Puis, d'un coup de reins, elle se redressa, fronça les sourcils, pinça le bout de mon nez entre le pouce et l'index, et continua d'une voix ferme : " Mon petit Nicolas, je veux que tu me redises ça plus respectueusement, en me vouvoyant et en m'appelant Maîtresse. " Là, elle en rajoutait ! Mais ses yeux étaient rieurs, et j'aurais été ridicule de me cabrer. Je préférai donc lui répondre avec humour, en exagérant ma déférence : " Maîtresse Murielle, votre plaisir est le principal souci de votre mari obéissant. Je suis tout prêt à me laisser immobiliser à nouveau dès que vous le souhaiterez. Je pourrai ainsi vous faire jouir exactement comme vous en avez envie, et je respirerai passionnément l'odeur paradisiaque de votre sexe divin. " " Tu la respireras quand je l'aurai décidé ! ", dit Murielle d'une voix autoritaire. " Mais maintenant c'est ta queue que je veux ! Surtout n'éjacule pas avant que je te le permette ! " Sans me détacher, elle mit son sexe humide en contact avec mon pénis érigé, s'y frotta quelques instants avec volupté, avant de le happer franchement dans son vagin, en poussant un petit cri de souris. Elle ne tarda pas à amplifier le mouvement, et à haleter doucement. Elle s'arrêta un moment, repartit de plus belle, et à ses réactions, je vis qu'elle commençait à bien jouir. Je me retins le plus longtemps possible, mais finalement, après avoir tenu un bon moment, je ne pus retenir mon sperme. Apparemment, c'était encore trop tôt, car ma femme poussa un cri de déception. " Maladroit ! Je t'avais dit de ne pas juter ! C'est foutu maintenant ! Tu pourrais au moins t'excuser ! " " Désolée, chérie, je n'ai pas fait exprès " J'eus aussitôt droit à une tape sèche sur la joue, et elle insista : " Tu appelles ça des excuses ? N'oublie pas que je suis ta Maîtresse ! " Allons, le jeu continuait, et je repris sur le même ton enjoué, " Je vous prie de m'excuser, Maîtresse Murielle, j'aurais dû me retenir plus longtemps. Ma conduite à votre égard est inqualifiable. " " Bon, tu le reconnais toi-même, c'est déjà ça ! J'espère que la prochaine fois, tu feras attention ! De toutes façons, tu mérites une punition pour ta maladresse. Alors, tu dis immédiatement : Maîtresse, je vous prie humblement de bien vouloir me donner la fessée que je mérite. " Là je sursautai. Elle y allait vraiment fort.
Mais en dépit de ma récente éjaculation, ma queue se dressa aussitôt, ce que ne manqua pas de remarquer mon épouse avec beaucoup d'intérêt. Pour la forme je protestai mollement. " Tu crois pas que tu pousses un peu, là ? " Murielle fit mine de se fâcher, fronça les sourcils, frappa ma joue un peu plus fort, et s'assit lourdement sur mon ventre, accentuant encore mon érection. " C'est comme ça qu'on répond à sa Maîtresse ? Tu me déçois ! Allons, méchant garçon, répète tout de suite, et sans discuter : "Maîtresse, je vous prie humblement de bien vouloir me donner la fessée que je mérite". Répète immédiatement !" Le jeu m'excitait de plus en plus, et je répétai docilement : " Maîtresse, je vous prie humblement de bien vouloir me donner la fessée que je mérite. " " Très bien, mon chéri, tu vas l'avoir ", me promit-elle. Elle commença par me délier les jambes, mais celles-ci ne restèrent pas libres longtemps, puisque, tout de suite après, elle remplaça la corde qui les serrait par les menottes de chevilles, dont les bracelets étaient reliés entre eux par une chaînette d'une dizaine de centimètres. Puis elle me libéra les bras, les examina, constata que les liens avaient laissé des traces rouges.
Elle prit dans le tiroir de la table de nuit un peu de crème adoucissante, m'en mit sur les poignets, puis elle les massa pendant un moment pour faire circuler le sang. Enfin, avant que je puisse réaliser ce qu'elle faisait, elle me passa rapidement les menottes de poignets qu'elle verrouilla aussitôt. Elle me fit alors descendre du lit, et me poussa vers le living . Avec mes pieds entravés, je ne pouvais faire que de tout petits pas. Ce qui se passa ensuite dura moins de deux minutes, et j'étais si éberlué que je me laissai faire sans réagir ni protester. Elle me fit agenouiller sur le sol, m'attacha un collier de chien autour du cou, saisit mes mains menottées, les tira sèchement derrière ma tête, et cadenassa la chaînette reliant mes poignets à mon collier. Enfin, elle relia le collier à un pied du buffet par une cordelette si courte que je fus obligé de me mettre à quatre pattes, sur mes deux coudes et mes deux genoux. J'étais ainsi cul nu en l'air, dans l'incapacité de me redresser. Murielle se releva, satisfaite de son travail, prit du recul, admira un instant le spectacle, puis vint de nouveau vers moi. J'eus droit d'abord à quelques claques sonores, à mains nues, sur les fesses ; puis elle retourna vers la chambre et en revint avec un martinet tout neuf, dont elle m'appliqua une dizaine de coups. Tout en me fouettant, elle me grondait comme un petit garçon ! " Méchant garçon ! Tu vas l'avoir ta fessée, tu l'as bien méritée ! Demande pardon tout de suite à Maîtresse Murielle ! " Elle ne tapait pas très fort, ça ne faisait pas vraiment mal, mais je me sentais terriblement humilié.
Ma bite était raide comme un piquet. " Pardon Maîtresse Murielle ", répétai-je docilement. Satisfaite de ma réaction, Murielle prit alors le combiné téléphonique, et s'assit sans façons sur mon dos. " Allô, Hilda ? C'est Murielle... tu avais raison, ma chérie, tout s'est très bien passé...oui, oui, il a été charmant, et n'a fait aucune difficulté... oui, bien sûr, même la fessée...je crois qu'on va bien s'amuser...tu es libre là ? tu peux venir ? alors à tout de suite, on t'attend ! " Là j'ai sursauté violemment, j'ai rué, j'ai essayé de me redresser, mais j'étais bien attaché au pied du buffet, et je suis retombé lourdement. Murielle, un moment déséquilibrée par mes ruades, s'est vite ressaisie, et m'a même donné trois coups de martinet cinglants sur le cul, nettement plus appuyés que les premiers : " Ca va pas, non ? T'as failli me faire tomber ! Tiens toi donc tranquille ! " J'ai dû rougir, affolé par la venue de Hilda en de telles circonstances. Je suppliai ma femme de me détacher avant son arrivée, déplorant de ne pas avoir été prévenu du complot. Murielle eut un petit rire, me caressa gentiment la croupe, et me dit d'une voix douce, en pointant un doigt vers ma bite tendue au maximum : " Hypocrite, tu ne vas pas me dire que tu n'es pas excité par la venue de mon amie ! C'est quoi alors cette trique sous ton ventre ? Te libérer maintenant ? Tu n'y penses pas mon amour ! Tu es bien trop mignon comme ça, et Hilda serait terriblement déçue ! Arrête donc de râler, tu es ravi dans le fond ! Pour une fois que Hilda s'intéresse vraiment à toi ! " Pour le principe, je continuai à bougonner un moment, mais sans conviction. Dans mon fors intérieur, j'étais bien obligé de convenir que Murielle avait raison. J'étais affreusement gêné à l'idée que l'amie de ma femme me voie dans cette tenue, mais en même temps j'étais violemment excité par cette perspective. Mon humiliation fut à son comble quand la jeune femme fit son entrée.
Après avoir apprécié d'un coup d'oeil le spectacle, elle se mit à l'aise, et les deux femmes s'installèrent sur le canapé, étroitement enlacées. Je me renfrognai, et ne prononçai plus une parole. Hilda, curieuse, posait des tas de questions, et à ma grande honte, ma femme lui donna tous les détails de notre soirée, fessée comprise. Elles avaient l'air de bien s'amuser. Elles se caressaient, s'embrassaient, tout en m'observant du coin de l'oeil. Les commentaires ironiques de la jeune femme furent conformes à ce qu'on pouvait attendre de cette féministe fière de son homosexualité, et convaincue de la supériorité des femmes sur le sexe mâle. Je ne suis pas certain qu'elle plaisantait quand elle m'a dit : " Avoue, Nicolas, que tu l'avais bien méritée, cette fessée ! Ainsi, ta femme te fait l'honneur d'apprécier cette espèce de chose horrible que tu as entre les cuisses, et toi tu n'es même pas capable de retenir ton foutre ! Elle a eu bien raison de t'avoir mis à genoux, avec ce collier de chien, c'est ta place ! Tu as bien besoin d'être dressé comme un jeune chien, c'est exactement ce que tu es ! " Je décidai de ne pas répondre à cette provocation, mais hélas je continuais à bander violemment, sous le regard moqueur des deux femmes qui continuaient à se caresser.
" Regarde comme il bande, ce petit salaud, continua Hilda. C'est vraiment indécent. Tu sais, moi aussi j'ai vraiment envie de le fesser, ce macho, pour lui apprendre à bien se tenir devant les dames. Tu permets, Murielle ? " " Oh, tu peux y aller, ne te gêne pas ! ", répondit Murielle sans même me consulter. Il était inutile de protester, car vu ma position, ça n'aurait fait que les exciter encore un peu plus. J'étais totalement impuissant, et je devais me faire tout petit en attendant la fin de l'orage. Hilda s'empara donc du martinet, et j'eus droit à ma seconde raclée de la journée, nettement plus forte que celle de Murielle. Je ne pus m'empêcher de laisser échapper quelques cris de douleur, et les deux femmes ne manquèrent pas de s'en moquer, me traitant de douillet et de poule mouillée. Encouragées par ma passivité, elles s'enhardissaient et devenaient toutes deux plus agressives. A la fin, comme je demeurais silencieux, Murielle s'approcha de moi, me gifla sèchement, me tira une oreille, et me dit : " Eh bien, il faut que je t'apprenne la politesse ? Répète immédiatement : "Merci Maîtresse Hilda". Allons, dépêche toi ! " " Merci maîtresse Hilda ", répétai-je docilement : Ensuite seulement ma femme me débarrassa de mes liens. Ouf, c'était enfin terminé, tout rentrait à nouveau dans l'ordre ! Enfin c'est ce que je croyais, mais ce n'était pas encore fini, car on me ne me retira pas encore mes menottes de chevilles. Je me redressai péniblement, et aussitôt ma femme m'ordonna d'un ton autoritaire : " Maintenant, sers nous des rafraîchissements, et ensuite va préparer le lit pour Hilda et moi. Tu nous mettras des draps et des taies d'oreiller propres. Et n'oublie pas de fourrer le linge sale dans la machine à laver, que tu mettras en route. " Je sursautai, choqué par le ton impératif de Murielle. Elle se permettait de me donner des ordres, maintenant, et sur quel ton ! J'eus un sursaut, je fis un pas dans sa direction, mais mes chevilles étaient entravées et je trébuchai, peinant à rétablir mon équilibre. De nouveau les lanières s'abattirent sans douceur sur mon cul nu : " Allons, dépêche- toi d'obéir, on n'a pas que ça à faire ! ", continua ma femme d'un ton sec. Je les regardai toutes deux, partagé entre l'indignation et l'excitation. Hilda, les mains sur les hanches, avait un sourire moqueur et un regard dur. Murielle continuait à me menacer de son martinet. Et soudain, je sus qu'il me fallait me soumettre, c'était une pulsion irrésistible qui venait du plus profond de moi-même. " A vos ordres Maîtresse, j'y vais immédiatement. " Je fis mon service avec application, et à la fin je dus encore laver les verres et essuyer la table, avant qu'elles ne se décident à me libérer les chevilles. Ensuite elles se retirèrent dans la chambre pour se gouiner, pendant que j'en étais réduit à me masturber dans mon petit lit. Entre deux baisers, je les entendais rire et papoter bruyamment, mais je ne fus pas autorisé à les rejoindre. Ainsi se termina pour moi cette journée mémorable, mais elle fut suivie de beaucoup d'autres du même type, qui accrurent progressivement mon asservissement. Une nouvelle vie commençait, et à ma grande honte, je dois avouer que j'y trouve moi-même un grand plaisir..
FIN
Nicolas
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